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La bouteille solaire

Aux Philippines, là ou l'électricité coûte tellement chère qu'une invention étonnante permet à des villageaois de s'éclairer à moindre frais.

Le saviez-vous ?

​Si vous ou votre entourage avez des idées "lumineuses", peu couteuses et pourquoi pas économiques et qui respectent notre environnement, vous pouvez les partager en nous les envoyant. Elles seront mises en ligne sur notre site.

Une étudiante invente des briques de sac-plastiques recyclés

13 janvier 2015 / Catégories: Articles, Rédaction / Tags: brique, durable, plastique, recyclage, recyclé, solution / Réclamations et signalements 

Un éclair de génie, c’est sans aucun doute ce que Lise Fuglsang Vestergaard a eu ! Son idée, récompensée par le prestigieux concours danois Grøn dyst en 2014, est de récupérer les vieux sacs en plastique pour en faire des briques et éviter ainsi leur éparpillement dans la nature. Les bénéGces vont bien plus loin qu’il n’y paraît...

Le Grøn dyst (Green Challenge) est un concours qui met l’accent sur la durabilité, la technologie verte et le climat. Il est organisé par la très renommée Université Technique du Danemark, dont la formation d’ingénieur est classée parmi les meilleures d’Europe et de Scandinavie. Chaque année, le Grøn dyst permet aux étudiants de présenter leurs « projets verts » à des étudiants, professeurs, hommes d’affaires ou hommes politique, en vue de remporter une bourse.

Son idée est née en 2013 lorsque, étudiante en Maîtrise de « Design et Innovation », Lise a passé trois mois en Inde à développer un système de collecte des déchets pour les plus démunis de la ville de Joygopalpur. Les Indiens étaient déjà habitués à collecter les déchets pour gagner quelques roupies en les remettant à des stations de recyclage mais, vu leur transformation plus complexe, ils laissaient les déchets en plastique souple de côté. Ces déchets en plastique sont d’ailleurs à l’origine d’un problème environnemental de plus en plus important en Inde où on est encore très loin de les interdire. Lorsque Lise a observé la façon dont les maisons en briques d’argile étaient emportées au cours des moussons, elle a pensé à utiliser le plastique souple dans la fabrication de briques plus résistantes pour résoudre, de ce fait, deux problèmes en même temps. 

À son retour au Danemark, elle a commencé à expérimenter la fonte du plastique dans un four ordinaire. Aujourd’hui, elle a mis au point une série de prototypes de briques en plastique. Des tests ultérieurs ont révélé que les briques pouvaient supporter jusqu’à six tonnes de pression. Elle a même réussi à y inclure les emballages de collations couverts d’aluminium, particulièrement difGcile à recycler. C’est un accomplissement majeur quand on sait que ces conditionnements constituent une importante part des ordures en matière plastique. Les briques peuvent d’ailleurs contenir jusqu’à 60 pour cent de ces emballages sans que cela ne compromette leur résistance. Lise devra également trouver une méthode sans électricité pour faire fondre le plastique car, à Joygopalpur, où elle souhaite installer la fabrique, les accès au réseau électrique sont rares. Elle a pour ambition, dans la même logique d’intelligence stratégique, d’utiliser un four solaire.

Après l’obtention de son diplôme, Lise ne partira pas à la recherche d’un emploi... elle compte simplement retourner en Inde pour Gnir son projet. Pour trouver les fonds nécessaires à son voyage, Lise s’associe à l’ONG danoise qui avait identiGé le projet original de collecte des déchets à Joygopalpur : Inno Aid. Cette ONG, orientée vers des projets innovants et transdisciplinaires, recherche des solutions durables pour la société. Lise va également récolter de l’argent via son site Internet et espère, grâce à la reconnaissance que son prix aura engendré, bénéGcier des fonds de l’Agence danoise pour le développement international (Danida).

Son prix lui aura permis d’injecter le capital nécessaire dans la première phase de son projet. Elle a d’ailleurs reçu la plus grande distinction pour ce projet, également le sujet de sa maîtrise. Soutenir la créativité des jeunes et encourager les projets de transition, voici une belle manière d’améliorer notre avenir commun ! 

Un incroyable jardin se développe dans une bouteille fermée depuis 50 ans.

Coupée du monde depuis 53 ans, une plante est parvenue à grandir dans une bouteille hermétiquement fermée en créant son propre micro écosystème.

 

http://www.maxisciences.com/jardin/un-incroyable-jardin-se-developpe-dans-une-bouteille-fermee-depuis-50-ans_art32349.html

 

Copyright © Gentside Découverte

Incroyable mais vrai. David Latimer, un Britannique de 80 ans, est parvenu au cours de son existence à créer un véritable écosystème à l’intérieur d’un récipient fermé hermétiquement. L’initiative remonte à 1960. A cette époque, l’homme à la main verte décide de planter dans une bouteille transparente de 38 litres une plante herbacée du genre Tradescantia. En 1972, il l’arrose pour la dernière fois avant de sceller l’énorme flacon. Durant ces 40 dernières années, la plante a grandi à l’intérieur de cet espace, complètement isolée du monde extérieur. La seule intervention à laquelle elle est soumise est celle de son propriétaire qui tourne de temps en temps la bouteille pour uniformiser l’exposition au soleil. "Sinon, c’est la définition même d’un entretien minimal. Je ne l’ai jamais taillée, la plante semble s’être développée avec pour seule limite, les parois de la bouteille" confie David Latimer au Dailymail. Mais comment une plante parvient-elle à survivre durant tout ce temps sans apport en eau ni nutriments ? A cette question, le Britannique répond en invoquant le micro écosystème créé à l’intérieur de la bombonne.

 

Le cycle de l'eau dans une bouteille

Bien qu’elle soit confinée dans le récipient transparent, la plante peut en effet réaliser la photosynthèse grâce à la lumière du soleil. Cette réaction lui permet de produire l’énergie nécessaire à son développement. Les nutriments, provenant des feuilles mortes qui pourrissent au fond de la bouteille représentent également une source d’énergie. Quant à l’eau, elle est constamment recyclée. Absorbée par les racines de la plante, elle est ensuite libérée dans l’air contenu à l’intérieur de la bouteille, lors de la transpiration. L’humidité ambiante, accentuée également par la réaction de photosynthèse, s’accumule alors sur les parois du récipient. L’eau à l’état liquide finit par couler vers le bas pour être de nouveau absorbée par les racines. Si l’idée de créer un écosystème à l’intérieur d’une bouteille vous inspire, sachez que vous pouvez également l’expérimenter chez vous. Sur le net, vous pouvez trouver des méthodes permettant de réaliser son propre jardin dans une bouteille en verre. Pour cela, vous aurez besoin d’un récipient avec un large goulot, du terreau, des galets et des plantes.

Le monde merveilleux de la pollinisation dévoilée comme jamais

Une séquence vidéo, réalisée par le cinéaste de renom Louie Schwartzberg, dévoile au ralenti le monde des pollinisateurs. Un spectacle incroyable qui révèle avec poésie le lien fondamental qui unit les plantes à fleur avec ces spécimens. Un lien duquel dépend la survie de notre planète.

 

http://www.maxisciences.com/pollinisation/le-monde-merveilleux-de-la-pollinisation-devoilee-comme-jamais_art32029.html

 

Copyright © Gentside Découverte

Louie Schwartzberg est un fervent admirateur de la nature. Ce réalisateur et producteur américain est réputé principalement pour ses documentaires qui parviennent à capturer de manière originale et insolite la beauté de nos écosystèmes. Depuis plus de 30 ans, le cinéaste est spécialisé dans les prises de vues botaniques et plus précisément les plantes à fleur. Pollen, son long métrage produit en 2011 par Disneynature, révèle avec poésie le lien fondamental entre fleurs et pollinisateurs. Un lien précieux duquel dépend la survie de notre planète. L’engagement de Louie Schwartzberg dans la cause environnementale, l’ont amené à tenir plusieurs fois des conférences internationales TED (Technology, Entertainment and Design). L’objectif de ces événements de renommée mondiale est celui de promouvoir et diffuser des idées inspirantes, capables de changer le monde. Au cours de ces conférences, le cinéaste explique comment les plantes à fleurs dépendent des pollinisateurs. Ces petits animaux ailés, qui se nourrissent de nectar, assurent en effet la reproduction des plantes en transportant le pollen d’une fleur à l’autre. Pour convaincre son auditoire, Louie Schwartzberg a recours à des séquences vidéo réalisées par ses soins.

 

Un monde merveilleux en danger

Les images qui défilent au ralenti, dévoilent un monde imperceptible à l’œil nu. On peut y voir différents pollinisateurs effectuer leurs activités quotidiennes. Qu’il s’agisse de colibris, de chauves-souris, d’abeilles, de papillons ou autres spécimens, tous participent au maintien de l’écosystème. Pourtant, ce dernier est aujourd'hui en danger. Les abeilles notamment traversent une crise grave qui inquiète les scientifiques. "Quand j'ai appris pour le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles [en anglais "Colony Collapse Disorder"[, cela m'a motivé pour agir. Nous dépendons de la pollinisation pour plus d'un tiers des fruits et légumes que nous mangeons", a expliqué le réalisateur lors de sa conférence. C'est pourquoi selon lui, il est si important de montrer les merveilles de ce monde insoupçonné qui oeuvre sans même que nous nous en rendions compte. "La beauté et la séduction sont les outils de la nature pour survivre. Parce que nous protègerons ce dont nous tomberons amoureux".

Abeille : à quoi ressembleraient les supermarchés sans ces pollinisateurs ?

Comment convaincre les citoyens du monde entier de l’importance des pollinisateurs ? L’entreprise Whole Foods Market semble avoir trouvé la solution. Sa nouvelle campagne dévoile en images, ce à quoi ressembleraient les étals d’un supermarché si les abeilles étaient amenées à disparaître.

 

http://www.maxisciences.com/abeille/abeille-a-quoi-ressembleraient-les-supermarches-sans-ces-pollinisateurs_art29901.html

 

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De nombreux citoyens ont beau se mobiliser pour sauver les populations d’abeilles en déclin, leur cause ne fait pas encore l’unanimité. Pour tenter de convaincre les plus indifférents de l’importance des pollinisateurs, une entreprise américaine de produits biologiques Whole Foods Market a récemment lancé une campagne choc. L’objectif : illustrer les conséquences directes de l’absence d’abeilles dans notre quotidien. Pour ce faire, la société a réalisé un montage photo dévoilant les étals d’un supermarché à l’heure actuelle et dans un futur hypothétique où les pollinisateurs auront disparu. Autant dire que les courses et nos futurs régimes alimentaires risquent d’être sérieusement limités. Adieu oignons, pêches, pastèques, pommes, carottes, brocolis, concombres, avocats… Sans abeille, 237 des 453 produits proposés en temps normal disparaîtraient, soit 52% des récoltes. "Les abeilles pollinisent plus de 100 cultures aux Etats-Unis, des amandes de votre granola aux myrtilles de votre yaourt", expliquent dans un communiqué les dirigeants de Whole Foods. "Le déclin des abeilles menace un grand nombre des ingrédients frais que les consommateurs plébiscitent".

 

Une situation jugée catastrophique

Actuellement, la situation des polinisateurs est de plus en plus préoccupante. Depuis 2007, le "Syndrome d'effondrement des colonies" (CCD) est jugé catastrophique par l’ensemble des experts et apiculteurs. En France, un tiers des colonies d’abeilles disparaissent chaque année. Un taux de mortalité également observé dans le monde entier. Pour lutter contre ce fléau, la Commission européenne a fait restreindre sur deux ans l’utilisation de trois pesticides jugés dangereux pour les abeilles. Mais cette mesure ne suffit pas selon les défenses de ces précieux pollinisateurs qui estiment notamment que d'autres produits chimiques aujourd'hui utilisés représentent aussi une menace pur les abeilles.

Construire sa maison avec des palettes :

Et beaucoup d'autres idées de construction avec des palettes sur le site : http://meubleenpalette.com/

Produire du Pétrole artificiel :

Professeur JOYEUX cancérologue

Professeur JOYEUX cancérologue et chirurgien, est invité par sophie Marceau à l'émission du 21/09/2014 "vivement dimanche" avec Drucker pour parler de l'alimentation.

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